Par Louis-René Blaire
Toute référence à un village existant ou ayant existé ne serait «presque» qu’une curieuse et malheureuse coïncidence…
Si la promotion immobilière et les aménageurs de tout poil s’en donnent à cœur joie aux dépens de nos regards, pourquoi ne ferions-nous pas de même, dans les limites acceptables, et ne leur imposerions pas nos plaisanteries, nos simulations urbaines, et aussi… notre nostalgie sur les ruines d’un passé encore bien présent ?
Comme la troisième future construction va avoir la vue sur Belledonne cachée par les deux autres, je pense que ce serait sympa de la surélever un peu. Au point où en en est !
Beaucoup de nouvelles constructions comme celles-ci résultent d’initiatives privées, autrement dit nos concitoyens vendent une partie de leur terrain afin d’y construire une nouvelle maison pour accueillir une nouvelle famille. C’est sans doute le cas pour la photo ci-dessus. Les terrains constructibles se font rares, le prix du foncier augmente, alors les propriétaires de grands terrains en profitent. Peut-être qu’il vaut mieux densifier les espaces déjà urbanisés (« bétonnés » comme vous dites) plutôt que de construire des lotissements qui grignoteront des espaces naturels vierges ?
Mais que se passe-t-il dans ce village rural, la rue râle?
Lorsque je monte dans mon « ex beau village » je suis triste de voir tout cela, du béton et encore du béton, dommage !!!!!!!!! Je me demande quand tout cela va s’arrêter et jusqu’où est-il possible d’aller ?